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FEWO Rapport du Comité

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ANNEXE B : LISTE DES PROJETS MENTIONNÉS PAR LES TÉMOINS, DANS LEUR TÉMOIGNAGE, OU DANS LES MÉMOIRES

Pratiques prometteuses

Le Comité a entendu de nombreux exemples de réussite et les témoins lui ont décrit des programmes et des initiatives qu’ils jugent efficaces. Par souci de fidélité et pour illustrer l’aspect positif des résultats, nous avons reproduit textuellement, dans la mesure du possible, les descriptions données par les témoins.

PARTICIPATION

A. Obstacles à la participation féminine

  • Fondation Filles d'action dirige le projet Young Women’s Leadership in Rural Development, « en partenariat avec des organisations qui offrent des services aux filles et des collectivités rurales de partout au Canada. […] Étant donné que les filles dans ces régions font face à des défis uniques et à des circonstances économiques plus difficiles, à moins de choix de carrière et d'éducation et à la nécessité de sortir de leur communauté pour obtenir une éducation postsecondaire, il leur est plus difficile d'accéder à du soutien si elles vivent dans la violence. Souvent, il y a des attentes traditionnelles fondées sur le sexe à l'égard des femmes, voulant qu'elles doivent seulement remplir leur rôle de mère, par exemple[1]. » Fondation Filles d'action « travaill[e] également avec des Premières nations. S'il est vrai qu'elles font face à des défis semblables à ceux des communautés rurales, c'est-à-dire qu'elles sont isolées et dépendent des économies fondées sur les ressources, elles ont également des défis supplémentaires liés à l'histoire du colonialisme et à ses incidences sur leurs familles ainsi qu'aux difficultés causées — des obstacles à surmonter en ce qui concerne la réussite financière, le fait d'être parent, et ainsi de suite[2] ».
  • « Le programme Power of Being a Girl [mis sur pied par le YWCA] est en fait une conférence sur la prévention de la violence qui est donnée dans plus de 25 collectivités et qui rejoint plus de 4 000 filles par année. Cette conférence met l'accent sur les questions comme des relations saines, l'image corporelle, la santé sexuelle, l'intimidation et la sécurité sur Internet[3] ».
  • « L'initiative Parce que je suis une fille a été lancée en 2009 pour attirer l'attention sur les défis qui attendent les filles et faire connaître leurs droits. [Le concept repose sur l’idée] qu'investir dans le développement des filles est le moyen le plus direct pour instaurer des changements sociaux à l'échelle planétaire[4] ». Il s’agit d’« un programme d'acquisition de compétences de base qui offre aux enseignants, aux chefs de file étudiants et aux groupes communautaires un outil clé en main pour aider les filles à surmonter les obstacles se dressant sur la route de leur épanouissement. Les différents modules traitent des problèmes auxquels les filles sont confrontées et proposent des activités, des éléments de discussion, des ressources et des outils pour appuyer les jeunes filles dans l'acquisition de chacune des compétences requises[5] » Le projet s’appuie sur les commissions scolaires et mise sur un modèle « conçu de manière à permettre aux filles d'examiner ensemble, en toute sécurité, les sujets à l'étude de façon à s'appuyer l'une l'autre dans la quête de leur plein épanouissement[6] ». Des modules ont été créés sur divers sujets en consultation avec le secteur privé. L’organisme a « ainsi par exemple fait appel à l'expertise de Visa pour les modules sur les connaissances financières; de Dove et Unilever pour le module sur l'amélioration de l'image de soi; d'IBM pour le module sur les technologies de l'information et la sécurité sur Internet; de Kraft Foods pour les questions touchant la nutrition; et de Coca-Cola pour le thème des femmes dans le monde des affaires. En plus de l'expertise ainsi harnachée, nous avons eu accès à des ressources financières additionnelles de telle sorte que le matériel a pu être fourni sans frais aux enseignants[7] ».
  • FemNorthNet, de l’ICREF, est « une alliance de recherche centrée sur trois communautés du Nord : La Loche, en Saskatchewan; Thompson, au Manitoba et Happy Valley-Goose Bay, au Labrador » ainsi que Labrador West[8]. « Le réseau comprend des autorités municipales, des organismes communautaires, des organismes nationaux et des chercheurs des universités des quatre coins du pays[9]. » […] Les recherches réalisées « révèlent un besoin […] d'investissement dans l'infrastructure sociale pour soutenir les jeunes femmes et améliorer leurs perspectives économiques, surtout dans ces communautés du Nord[10] ».
  • La Maison des peuples autochtones à l'Université McGill tient chaque année son « Eagle Spirit High Performance ». Celui-ci « se déroule durant une longue fin de semaine en mai, et, à cette occasion, de jeunes autochtones âgés de 13 à 17 ans de partout au pays viennent passer la fin de semaine à McGill pour se renseigner sur les carrières dans le domaine de la santé, entre autres domaines, et pour découvrir leur passion. Et les activités du camp sont beaucoup axées sur le sport, la forme physique et le bien-être global. […] [La Maison des peuples autochtones constate] d'ailleurs que de plus en plus de participants au camp s'inscrivent à McGill[11] ».
  • La Fédération de la jeunesse franco-ontarienne (FESFO) « a été approchée par l'ONU pour développer une série de guides dans le cadre du projet « Un monde de différence: la jeunesse en action! ». Ces guides traitent entre autres de la violence, du sexisme, du racisme, de la communication et de la résolution de conflit[12] ».
  • La Coalition d’Ottawa contre la violence faite aux femmes a lancé un « programme intitulé ‘D’homme à homme’, qui incite les jeunes hommes à mettre fin à la violence contre les femmes en abordant des sujets comme la masculinité, la féminité, le sexisme et la violence sexuelle. C’est un programme qui éveille l’espoir et qui nous rappelle que ce ne sont pas tous les hommes qui sont violents[13] ».
  • « La National Association of Indigenous Institutes of Higher Learning donne un excellent exemple de ces pratiques prometteuses. L'association a été créée ces dernières années pour répondre aux besoins de programmes postsecondaires mieux adaptés à une clientèle autochtone, et notamment de filles. Ces établissements d'enseignement supérieur sont une solution de rechange aux universités et aux collèges provinciaux. Leurs programmes s'inscrivent dans une perspective autochtone et portent notamment sur la connaissance de l'identité et de la langue. Nombre de ces instituts sont situés dans les collectivités des Premières nations, ce qui en facilite l'accès aux étudiants qui vivent dans les régions éloignées; mais on en trouve aussi dans les grands centres urbains[14] ».
  • L’Organisme communautaire des services aux immigrants d'Ottawa (OCISO) a mis sur pied le programme des jeunes immigrants et réfugiés dont l'objectif « consiste à aider les écoles et les fournisseurs de services à mieux protéger ces jeunes très vulnérables en leur offrant les moyens de s'intégrer sans heurt à la société canadienne et d'étudier à temps plein[15]. Le programme des jeunes immigrants et réfugiés vise les enfants de 13 à 18 ans fréquentant l'école[16] ». « On recrée au sein du groupe l'ambiance qu'on retrouve dans un milieu de travail canadien. Un horaire est établi. Un des enfants a reçu la formation. Il convoque le groupe le moment venu. Il y a un chronométreur et un facilitateur. On aborde diverses questions : horaire, gestion des conflits, rédaction de curriculum vitae et conseils pour se présenter à une entrevue d'emploi. Pendant ces 14 semaines, les membres de diverses professions s'adressent aux jeunes pour leur parler de leur milieu de travail[17]. »
  • Dans le cadre du programme de mentorat professionnel de l’OCISO, des professionnels immigrants « diplômés à l'étranger sont jumelés avec des diplômés canadiens dans un domaine semblable. Ensemble, ils explorent le marché du travail canadien ». Le programme a récemment « reçu un petit montant pour mettre en place un programme semblable pour les jeunes »[18]. Le programme a été mis en œuvre il y a environ cinq ans et dispose de « 200 mentors canadiens jumel[és] avec des immigrants diplômés à l'étranger. […]. Le mentor donne les renseignements sur le marché du travail canadien, la culture du milieu, les occasions de réseautage et les stratégies de recherche d'emploi. Plus de 60 [%] des mentorés se trouvent un emploi dans leur domaine et 15 [%] suivent des cours de perfectionnement en vue de se trouver un emploi[19]. »

B. Compétences fondamentales et littératie financière

  • La Fédération de la jeunesse franco-ontarienne a « un programme de littératie financière pour les filles et les garçons [qui porte sur] la façon de faire un bon budget, de gérer une ligne de crédit. […] Ces cours de littératie financière doivent comporter un volet sexospécifique[20] ».
  • Chaque année, le programme de l'équipe des jeunes de Coast Capital Savings Credit Union « offre à 25 à 30 élèves de 11e et 12e années une formation sur les services financiers et une expérience en leadership. Dans le cadre du programme de l'équipe des jeunes de Coast, ces élèves sont formés et travaillent dans nos succursales, mais contribuent également à organiser les événements communautaires de Coast et y participent. Ils acquièrent ainsi non seulement des compétences professionnelles très utiles, mais également une expérience précoce en intervention en public et leadership […] Plus de 300 élèves ont obtenu leur diplôme à la suite de ce programme. Plusieurs anciens sont maintenant des employés à temps plein de Coast dans divers postes, alors que d'autres occupent ailleurs des fonctions qui exigent de très bonnes compétences et connaissances dans le domaine financier[21] ».
  • Coast Capital Savings Credit Union a « un conseil consultatif des jeunes pour débattre des montants à donner à la collectivité et les allouer. […] Le conseil des jeunes doit analyser avec soin les propositions pour s'assurer qu'elles correspondent [aux] objectifs de dons [de Coast]. À la faveur de ce programme, les participants acquièrent des connaissances sur la philanthropie institutionnelle et le rôle important qu'elle joue pour le développement des collectivités. Ils apprennent également à réfléchir et à analyser[22] ».

C. Transition de l’école à la vie active

  • Le programme Éco-stages jeunesse (PESJ) du YWCA offre aux jeunes sans emploi de 15 à 30 ans la possibilité de faire un stage rémunéré au sein du secteur canadien des services communautaires et sans but lucratif[23].
  • Linamar Corporation travaille « avec les réseaux scolaires locaux pour parrainer l'apprentissage de jeunes femmes. [Elle s’est engagée] à former cinq femmes apprenties par année au cours des cinq prochaines années[24] ».

PROSPÉRITÉ

A. Emplois non traditionnels

  • « Ainsi, Techsploration donne aux jeunes femmes de divers horizons, de la neuvième à la douzième année, l'occasion de se renseigner sur les carrières dans ces domaines. Cela les aide aussi à comprendre l'importance des mathématiques et des sciences au secondaire pour leurs carrières à venir et cela les aide à comprendre le rôle crucial du travail dans leur vie. Techsploration donne aux jeunes femmes la possibilité d'améliorer leurs aptitudes à parler en public, à faire des présentations et à rédiger des rapports. Elles apprennent également à communiquer, à faire preuve de leadership et à travailler en équipe – des compétences que recherchent tous les employeurs. Cela aide les participantes à avoir davantage confiance en elles, une meilleure estime de soi et une conscience culturelle, mais, plus important encore, Techsploration leur fournit de l'information. L'information, c'est habilitant et cela change complètement les vies[25]. »
  • Women in Scholarship, Engineering, Science &Technology offre un programme de recherche d’été dans le cadre duquel « des filles en onzième année [viennent] passer six semaines à travailler au sein d'un groupe de recherche à l'Université de l'Alberta, pendant l'été » et elles sont rémunérées. Les filles « rencontrent des femmes ingénieures et des femmes scientifiques et, à la fin des six semaines […] Elles découvrent donc que c’est quelque chose qu’elles veulent faire et que c’est quelque chose de pertinent à leurs yeux[26]. »
  • Linamar Corporation offre « un camp d’été aux jeunes filles de 10 à 12 ans, [òu] nous essayons [de les] éveiller à l’idée d'acquérir des compétences et de faire carrière dans un corps de métier[27] ».
  • « Le programme national d'Actua pour les filles a été élaboré en 1999 pour répondre à une diminution notable de la participation des filles à nos camps [de science, d’ingéniérie et de technologie] partout au pays[28] ». « Le modèle de programmes destinés exclusivement aux filles […] permet de procurer à celles-ci un environnement sûr, exempt de jugements et divertissant où elles ont la possibilité d'explorer, de créer et d'entrer en interaction avec des personnes qui représentent, pour elles, des modèles positifs. » Ce modèle leur permet « d'acquérir des compétences essentielles dans leur vie personnelle et professionnelle, comme le travail d'équipe, la collaboration, la résolution de problèmes, la pensée critique, les connaissances financières et les aptitudes techniques[29] ».
  • Le programme national pour Autochtones d’Actua « touche 30 000 jeunes Autochtones par année dans 200 collectivités de partout au pays. Il a une très grande portée géographique et s'adresse aussi à des collectivités rurales et éloignées. Il est important pour nous de joindre même les plus petites collectivités du pays, accessibles uniquement par avion ou par bateau[30]. »
  • Chez GE Canada, « nous avons mis en œuvre un programme pour nous aider à conserver notre effectif. Nous investissons davantage pour attirer plus de femmes par nos horaires souples[31]. »
  • Linamar Corporation a « organisé plusieurs ateliers, où [on a] jumelé des élèves des écoles secondaires à des femmes qui exercent des métiers dans notre entreprise et ailleurs, pour que ces jeunes apprennent en quoi consistent ces carrières. [On a] aussi organisé plusieurs ateliers, où [on a] jumelé des élèves des écoles secondaires à des femmes qui exercent des métiers dans notre entreprise et ailleurs, pour que ces jeunes apprennent en quoi consistent ces carrières[32]. »

LEADERSHIP

A. Présence des femmes à des postes decisionnels

  • Le programme Y Act Up du YWCA « met l'accent sur les capacités de leadership et de prise de décision des jeunes filles et les incite à s'engager civiquement tout au long de leur vie dans leurs collectivités ». Il repose sur l’idée que « lorsque les filles sont éduquées et responsabilisées, elles deviennent des chefs de file à la maison, dans leurs collectivités et au-delà, de sorte qu'elles améliorent leur prospérité économique ainsi que celle des personnes qui les entourent[33] ».
  • L’équipe de l’engagement, de la communication et de l’ouverture de l’Institut canadien de recherches sur les femmes est un « caucus de jeunes [formé] dans le but de rejoindre les autres jeunes femmes pour les encourager à participer[34] ».
  • Chubb Insurance Company of Canada vise à « retenir, former et promouvoir les meilleurs éléments [du] secteur en créant des programmes de perfectionnement destinés spécialement aux femmes pour qu'elles soient aussi nombreuses que leurs collègues hommes à accéder aux postes de direction ». « La mission consiste à rejoindre les femmes à tous les niveaux et de travailler avec elles au sein de la compagnie, de notre secteur et des collectivités que nous desservons pour soutenir les femmes[35]. »
  • Le Mouvement ontarien des femmes immigrantes francophones (MOFIF) réalise un « projet intitulé "Viser haut" […] Ce projet a pour but de susciter la participation des femmes aux postes décisionnels, notamment au sein des conseils d’administration […] Les femmes ont été outillées, ont reçu une formation complète de deux jours sur la gouvernance, dont une sensibilisation préalable à la formation et une mise en situation à l'issue de cette formation[36]. »

B. Confiance en soi

  • Le Fonds pour les filles de la Fondation canadienne des femmes fournit une aide financière pour « des programmes de recherche afin de renforcer leurs facteurs de protection et de mobiliser leur corps, leur esprit et leur génie ». Ces programmes « créent un milieu positif entièrement féminin pour des filles de 9 à 13 ans afin de leur permettre d’explorer la science et la technologie, de nouer des relations saines avec des pairs et des adultes, d’être physiquement actives, d’acquérir une littératie financière et médiatique et surtout d’apprendre la pensée critique, d’assurer des rôles de leadership et de créer des liens sociaux solides[37] ». En ce qui concerne les programmes pour les filles autochtones, l’organisme fait aussi « la promotion des liens culturels et du renforcement des liens avec les aînées et les autres femmes de la communauté qui jouent le rôle de mentors et c'est vraiment un aspect essentiel des programmes s'adressant à ce groupe[38] ».
  • YWCA GirlSpace « offre de la programmation de qualité tout en se penchant sur les questions sociales clés auxquelles les jeunes filles d'aujourd'hui doivent faire face et qui répondent à leurs besoins divergents[39] ».

C. Mentorat et modèles de rôle

  • BPW Canada a un « programme de mentorat, au sein de [l’organisme] même, et dans les chapitres national, provinciaux et locaux[40] ».
  • Coast Capital Savings Credit Union offre un programme de mentorat visant à identifier les « personnes à fort potentiel » [qui] sont susceptibles d’être autant des femmes que des hommes. Elles sont encadrées. On leur donne une formation en leadership et des affectations spéciales de leadership sur des projets importants pour l'organisation […] Quand elles travaillent sur des projets importants et qu'elles les mènent à bien, elles se font connaître et tout le monde les veut dans leur équipe[41]. »
  • « Le projet de l'organisme Femmes Équité Atlantique portait sur la rencontre des générations et l'équité socioéconomique pour les femmes francophones et acadiennes évoluant en situation minoritaire dans les provinces atlantiques. Le titre du projet était "La rencontre des générations". Dans le cadre de ce projet, des jeunes filles et des femmes de différents groupes d'âge ont participé aux rencontres. On y abordait quatre dimensions : la participation des jeunes filles, les compétences, l'estime de soi et la conscience critique[42]. »
  • L’Association des femmes autochtones du Québec dispose d’un programme de mentorat exécuté « dans un cercle de leadership qui affecte des mentors aux jeunes filles. Mais, de façon plus précise, il ne suffit pas de mettre une femme en contact avec une fille, il faut également faire connaître à la fille un domaine d'intérêt, peut-être comme devenir députée, et la mettre en contact avec quelqu'un qui possède déjà un ascendant politique; ou si elle désire devenir avocate […], avec une femme déjà membre du barreau. Cela pour qu'elles puissent discerner un cheminement particulier d'après leurs aptitudes et capacités et s'y exercer[43]. »


[1]      Juniper Glass, directrice du développement, Fondation filles d’action, Témoignages, 12 mars 2012, 1555.

[2]      Ibid.

[3]      Paulette Senior, chef de la direction générale, YWCA Canada, Témoignages, 12 mars 2012, 1540.

[4]      Leanne Nicolle directrice, Engagement de la communauté, Plan International Canada Inc., Témoignages, 26 mars 2012, 1530.

[5]      Leanne Nicolle, directrice, Engagement de la communauté, Plan International Canada Inc., Témoignages, 26 mars 2012, 1530.

[6]      Ibid., 1535.

[7]      Ibid.

[8]       Jane Stinson, directrice, Projet FemNorthNet, Institut canadien de recherches sur les femmes, Témoignages, 28 mars 2012, 1535.

[9]      Ibid.

[10]   Ibid.

[11]   Paige Isaac, coordonnatrice, Maison des peuples autochtones, Témoignages, 4 avril 2012, 1630.

[12]   Jocelyne Michelle Coulibaly, représentante de la région d'Ottawa, Conseil de représentation, Fédération de la jeunesse franco-ontarienne, Témoignages, 2 avril 2012, 1635.

[13]   Stefanie Lomatski, directrice générale, Coalition d'Ottawa contre la violence faite aux femmes, Témoignages, 16 mai 2012, 1650.

[14]   Ashley Julian, membre, Conseil de la jeunesse, Assemblée des Premières Nations, Témoignages, 30 mai 2012, 1645.

[15]   Bertha Mo, directrice, Programme de counselling, Organisme communautaire des services aux immigrants d'Ottawa, Témoignages, 30 mai 2012, 1630.

[16]   Ibid., 1635.

[17]   Ibid., 1635.

[18]     Ibid., 1630.

[19]   Ibid., 1630.

[20]   Geneviève Latour, gestionnaire de la programmation, Fédération de la jeunesse franco-ontarienne, Témoignages, 2 avril 2012, 1715.

[21]   Tracy Redies, présidente et directrice générale, Coast Capital Savings Credit Union, Témoignages,
2 avril 2012,1535.

[22]   Ibid.

[23]   YWCA, Éco-stages jeunesse (PESJ).

[24]   Linda Hasenfratz, ,directrice générale, Linamar Corporation, Témoignages, 14 mai 2012,1640.

[25]   Tricia Robertson, directrice générale, Techsploration, Témoignages, 7 mai 2012, 1535.

[26]   Margaret-Ann Armour, présidente du conseil, Canadian Centre for Women in Science, Engineering, Trades and Technology, Témoignages, 7 mai 2012, 1545.

[27]   Linda Hasenfratz, directrice générale, Linamar Corporation, Témoignages, 14 mai 2012, 1635-1640.

[28]   Jennifer Flanagan, présidente et directrice générale, Actua, Témoignages, 28 mai 2012, 1605.

[29]   Ibid.

[30]   Ibid., 1625.

[31]   Elyse Allan, présidente et directrice générale, GE Canada, Témoignages, 30 mai 2012, 1615.

[32]   Linda Hasenfratz, directrice générale, Linamar Corporation, Témoignages, 14 mai 2012, 1640.

[33]   Paulette Senior, chef de la direction générale, YWCA Canada, Témoignages, 12 mars 2012, 1540

[34]   Brigitte Ginn, membre du conseil d’administration, Institut canadien de recherches sur les femmes, Témoignages, 28 mars 2012, 1530.

[35]   Ellen Moore, présidente du conseil, présidente-directrice générale, Chubb Insurance Company of Canada, Témoignages, 2 avril 2012, 1540.

[36]   Siham Chakrouni, coordonnatrice provinciale, Services communautaires, Mouvement ontarien des femmes immigrantes francophones, Témoignages, 14 mai 2012, 1540.

[37]   Claire Crooks, membre du conseil d’administration, Fondation canadienne des femmes, Témoignages, 28 mars 2012, 1540.

[38]   Claire Crooks, membre du conseil d’administration, Fondation canadienne des femmes, Témoignages, 28 mars 2012, 1540.

[39]   Paulette Senior, chef de la direction générale, YWCA Canada, Témoignages, 12 mars 2012, 1540.

[40]   Cara Coté, première vice-présidente, Fédération canadienne des Clubs de femmes de carrières commerciales et professionnelles, Témoignages, 26 mars 2012, 1610.

[41]   Tracy Redies, présidente et directrice générale, Coast Capital Savings Credit Union, Témoignages, 2 avril 2012, 1610.

[42]   Anne-Marie Gammon, présidente, Femmes Équité Atlantique, Témoignages, 30 avril 2012, 1620.

[43]   Cindy Blackstock, directrice générale, Société de soutien à l’enfance et à la famille des Premières Nations du Canada, Témoignages, 2 mai 2012, 1555.